RETOUR
FAUNE & FLORE
L’ail des ours - Allium ursinum
L’ail des ours (Allium ursinum) est un ail vivace que l’on trouve dans les sous-bois au printemps où il peut former de larges touffes.
Les feuilles sont lancéolées. La floraison blanche est tout à fait charmante avec ses petites ombelles immaculées.
L’ail des ours est une plante d’ombre ou de mi-ombre qui apprécie les bonnes terres humifères comme celle des sous-bois.
Tout se consomme dans cet ail, le bulbe, les feuilles, les tiges, les fleurs. Et tout a bien évidemment un goût d’ail. On peut le consommer cru comme condiment ou cuit comme légume. On lui attribue aussi des vertus médicinales, notamment comme antibactérien et comme antioxidant.
Si vous allez à la cueillette de l’ail des ours dans les bois, faites attention ! En effet, on peut le confondre avec du muguet ou avec de jeunes arums et d’autres plantes de sous-bois encore, toutes très toxiques. Pour être sur, faites appel à votre nez. Seul l’ail sent l’ail ! Si ça ne sent pas l’ail, laissez !
L’ail des ours s’appellerait ainsi car, selon la légende qui l’accompagne, les ours se mettraient en quête de cet ail après leur hibernation, pour se purger.
Les feuilles sont lancéolées. La floraison blanche est tout à fait charmante avec ses petites ombelles immaculées.
L’ail des ours est une plante d’ombre ou de mi-ombre qui apprécie les bonnes terres humifères comme celle des sous-bois.
Tout se consomme dans cet ail, le bulbe, les feuilles, les tiges, les fleurs. Et tout a bien évidemment un goût d’ail. On peut le consommer cru comme condiment ou cuit comme légume. On lui attribue aussi des vertus médicinales, notamment comme antibactérien et comme antioxidant.
Si vous allez à la cueillette de l’ail des ours dans les bois, faites attention ! En effet, on peut le confondre avec du muguet ou avec de jeunes arums et d’autres plantes de sous-bois encore, toutes très toxiques. Pour être sur, faites appel à votre nez. Seul l’ail sent l’ail ! Si ça ne sent pas l’ail, laissez !
L’ail des ours s’appellerait ainsi car, selon la légende qui l’accompagne, les ours se mettraient en quête de cet ail après leur hibernation, pour se purger.
